Catherine

Nom: Catherine Gallagher
Age: 26
Pays d'origine: Angleterre

Je suis doctorante en vulcanologie et risques naturels. Je fais ça depuis un an mais j’habite depuis deux ans en Islande. Avant ça, j’ai étudié pendant cinq ans à l’Université d’Édimbourg en Écosse.

À quoi ressemble l’une de vos journées types? Je me rends sur mon lieu de travail et je traite les données que nous avons collectées sur le terrain: elles concernent les coulées de lave.

Qu’est-ce qui vous frustre le plus? Le mauvais temps, qui nous oblige à cesser notre travail sur le terrain. C’est surtout le vent qui est la plus grande cause de frustration.

Qu’est-ce qui vous manque de chez vous à la maison? Une vraie ville. Ce serait chouette s’il y avait plus à faire à Reykjavik. Si ça pouvait être une ville un peu plus grande…

Que pensez-vous de la nourriture en Islande, vous l’avez goûtée? Nous mangeons parfois de l’agneau islandais rôti et c’est très bon.

Quelle nourriture vous manque le plus? La nourriture standard pour le travail sur le terrain se compose de petits pains, etc. C’est plutôt mauvais. Ce qui me manque le plus, c’est notre traditionnel English Sunday Roast avec du Yorkshire pudding. Et plus de légumes frais. Ici, c’est déjà un peu meilleur qu’en Islande. Mais vraiment pas aussi délicieux que la nourriture méditerranéenne!

Est-ce que vous vous ennuyez ici? Non, c’est un endroit passionnant!

Votre avis sur la nourriture Tex Mex? J’en mange souvent en Angleterre, mais ici elle est moins bonne que les repas à emporter là-bas. Ça me manque aussi: le choix de repas à emporter à Reykjavik. C’est vraiment grave! On peut avoir de la pizza, et on est déjà très contents avec ça, mais l’offre se réduit à ça! Vous ne pouvez pas aller chercher de l’indien, du mexicain ou un bon thaï. C’est plutôt limité!